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Le bulletin sectoriel « La Dernière Craie » est publié trois fois par année. Il est gratuit et disponible en deux formats : papier, pour les membres qui en font la demande, ou numérique.

Voici les numéros des dernières années (version PDF).

Numéro 33-1 : Expo-Arts 25 ans
(septembre 2023)

Pour souligner un 25e anniversaire, il a fallu qu’il y ait eu une première fois. C’est en avril 1998 que quelques braves artistes acceptèrent de présenter leurs oeuvres lors d’un déjeuner.

Extrait du bulletin de mai 1998 :

« Au déjeuner du 6 avril dernier, nos artistes nous ont fait découvrir des oeuvres d’une telle qualité que nous nous devons de répéter cette activité l’an prochain. Félicitations à nos exposantes et exposants, merci à tous les bénévoles. Déjeuner-expo fait maintenant partie de notre horaire régulier du mois d’avril 1999. »
Liliane Hardy, présidente, 1998

Comme quoi une première suggestion acceptée peut susciter des rencontres amicales et artistiques.

Liliane Hardy

Numéro 33-2 : Trop tard pour?…
(janvier 2024)

Il faut de l’imagination pour concevoir des rêves. Il faut de la volonté pour les réaliser.

Si l’on dit que L’avenir (pensez l’atteinte d’un objectif) appartient à ceux qui se lèvent tôt, c’est qu’il faut parfois y mettre du temps pour pouvoir poser tous les gestes qui, un à un, y mèneront et/ou mettre en place les conditions qui faciliteront son accessibilité.

Avez-vous (ou avez-vous eu) un rêve qui n’est pas encore réalisé ?

Croyez-vous qu’il soit trop tard (ou non) pour ce faire ? Pourquoi ?

Danielle Duchesneau

Numéro 33-3 : Évasion
(mai 2024)

Mon quotidien n’est pas une prison… et aussi contradictoire que cela puisse paraître ou à cause de cela, c’est selon, beaucoup d’activités font en sorte que le présent prend la poudre d’escampette pour me faire vivre autre chose : un film intéressant, un roman prenant, un concert enlevant ou tout simplement, l’observation de personnes inconnues lorsque je suis assise à une terrasse l’été. À ces moments-là, je suis vraiment ailleurs même si je ne fuis rien. Est-ce de l’évasion? Peut-être, je ne sais pas.

Vous, avez-vous besoin de vous évader? Quand? De quelle manière? Ça vous fait du bien? Parlez m’en…

Danielle Duchesneau

Numéro 32-1 : Mon livre coup de coeur
(août 2022)

Les membres se sont rappelé les livres qui les avaient marqués. Les intérêts sont très variés, nous avons pu avoir un aperçu de Le meilleur des mondes d’Aldous Huxley, Kukum, Tiohtiá:ke de Michel Jean, 42 ans de passion pour le Québec et ses régions de François Gendron, Une seconde après de William R. Forstchen, La petite et le vieux de Michel Tremblay et Le Petit Prince de Saint-Exupéry.

Colette Gauthier

Numéro 32-2 : Vois comme c’est beau
(janvier 2023)

Notre région, un endroit de prédilection pour vivre au diapason de nos émotions. Le carré Royal avec son parc sous les arbres, le nouveau Centre des arts contemporains du Québec, les îles du lac Saint-Pierre, la Pointe-aux-Pins rénovée ou l’église de Saint-Laurent-du-Fleuve sont des endroits à visiter. C’est encore le rendez-vous, mais le progrès est passé, la ville a changé.

Chantal Cardin

Numéro 32-3 : L’éducation
(mai 2023)

 

(Sur un air de rap)

C’est un(e) arme pacifiqu(e)
Qui nous fait évoluer
Plutôt que d’s’entretuer
Un moyen systématiqu(e)
Ne visant qu’à dév’lopper
Que toutes nos qualités

Cett(e) formul(e) pédagogiqu(e)
Est là pour intéresser
Et non pas pour nous dresser
N’soyons pas égocentriqu(es)
Et partageons nos pensées
Car on va tous y gagner

Danielle Duchesneau

Numéro 31-1 : Filles du Roy
(août 2021)

Les Filles du roi (ou Filles du Roy, selon la graphie de l’époque) sont des jeunes femmes choisies par les responsables des hospices et hôpitaux généraux où elles étaient hébergées. Elles se sont déplacées jusqu’en Nouvelle‑France au XVIIe siècle pour s’y marier, y fonder une famille et coloniser le territoire. Elles étaient souvent orphelines et d’origine modeste et à 81,1% d’origine urbaine ou semi‑urbaine.

Colette Gauthier

Numéro 31-2 : Une chance qu’on s’a
(janvier 2022)

Le thème de ce bulletin se prête bien pour rendre un hommage particulier à notre conseil sectoriel. J’ai la chance de les côtoyer régulièrement et je connais leur implication. Je les mets à l’honneur, car ce n’est pas toujours facile le bénévolat.

Richard Jutras

Numéro 30-1 : Beauté de l’ordinaire
(septembre 2020)

Ma grand-mère finissait toujours par me dire que, pour éviter la routine ou la monotonie, il ne fallait pas oublier d’apporter ou d’ajouter quelque chose qui pourrait faire une différence dans le quotidien. Elle disait que cette différence ou la couleur qu’on y ajoute, si petite soit‑elle, peut faire d’une journée « ordinaire » une journée « extraordinaire ».

C’est peut-être à cause de cette philosophie que ma grand-mère avait toujours le sourire…

Numéro 30-2 : 2020?!…
(février 2021)

L’année 2020 marquera l’histoire de l’humanité au même titre que les autres « calamités » qui ont assailli la terre au cours des siècles.  Malgré les efforts de tous les dirigeants pour la contrôler, le coronavirus est parvenu à éclabousser la terre entière.

Richard Jutras

Numéro 29-1 : C’est à mon tour
(septembre 2019)

Une file d’attente… C’est sans doute la première image qui vient à l’esprit quand il est question de C’est à mon tour! Pourtant cette expression, si anodine soit-elle, finira par façonner les étapes de ta vie…

Richard Jutras

P.-S. — C’est à mon tour… d’être sur la page couverture.

Numéro 29-2 : L’humour
(janvier 2020)

L’humour, sous toutes ses formes, est là pour divertir et faire rire. Il génère un sourire, un éclat de rire et souvent même… un rire à gorge déployée. Cependant, l’humour noir se voulant plus satirique, plus acerbe et même caustique ne provoque pas la même forme de rire. Cette forme d’humour à « message », créant plus souvent qu’autrement un certain malaise, engendre un sourire plus mitigé… C’est sans doute de là que vient l’expression « rire jaune ». Pour l’illustration de la page couverture, j’ai voulu faire un clin d’œil à Yvon Deschamps afin de lui rendre hommage…, un pionnier et un « GRAND » de l’humour québécois.

Richard Jutras

Numéro 28-1 : Nostalgique?
(septembre 2018)

La nostalgie, est-ce un sentiment ou un état d’âme ? Quoiqu’il en soit, les souvenirs qu’elle active génèrent des émotions. Nous sommes nostalgiques de moments, d’événements, de détails, de mots… qui font appel au passé.

Bien gérée, la nostalgie n’est pas un mal en soi. Elle fait appel au passé, mais celui-ci n’est qu’un reflet… et ne doit surtout pas écraser le présent.

Richard Jutras

Numéro 28-2 : Petit plaisir coupable
(janvier 2019)

Un de mes nombreux plaisirs coupables, c’est un repas bien arrosé avec des gens que j’aime, la famille, les amis, où on ne parle pas ou à peu près pas de politique… Ce serait trop osé de vous parler des autres plaisirs coupables que j’entretiens!…

Ginette Ducharme

Numéro 28-3 : Bonheur de vivre?
(mai 2019)

Eh oui ! Il y a eu des élections… mais je constate que ce sont toujours les mêmes membres qui se présentent et sont élus. On joue un peu à la chaise musicale, pas vrai!

Et ce sont trop souvent les mêmes membres qui viennent à l’assemblée générale… C’est trop « plate », pas vrai!

Que penser ? Que dire ? Que faire ?…

Ginette Ducharme

Numéro 27-1 : Rêve ma ville
(septembre 2017)

Vite, vite, vite, je cours ce matin ! Au diable les frisettes et le maquillage savant, je dois accueillir les nouveaux retraités 2016-2017 et, en plus, on m’a dit qu’il y avait près de 200 billets vendus. Et ce n’est pas tout, le conférencier invité ne nous demande rien…, il vient gratuitement nous renseigner sur les assurances. Ouf! J’espère que tout se passera bien et que les membres seront satisfaits. C’est tellement merveilleux de constater que, peu importe l’école ou le niveau d’où ils proviennent, ils acceptent de s’asseoir, parfois, loin de leurs amis.

La vente de livres pour la Fondation Laure-Gaudreault battra des records, j’en suis sûre, car on a transporté près de 20 sacs pleins à craquer et j’ai apporté le mien aussi! Ginette Pelletier sera contente!!!

En plus, je n’ai pas à me préoccuper de trouver une bonne âme pour rédiger un petit rapport pour le bulletin. A chaque activité, on se chamaille pour avoir la chance de l’écrire.

Les responsables de comités ont maintenant toute une équipe pour travailler avec eux et organiser des rencontres d’information. La dernière fois, nous étions plus de 50 à une sortie avec le comité de l’environnement.

Dring! Dring! Dring! Je sors des bras de Morphée! Ben oui! J’ai rêvé mon secteur!… Mais c’est peut-être un défi que je me lance…, que je vous lance!

Ginette Ducharme

Numéro 27-2 : J’aurais voulu…
(janvier 2018)

J’aurais bien voulu que mon rêve du mois de mai devienne réalité! Mais personne ne me court après pour écrire dans le bulletin! Personne ne s’offre pour organiser de nouvelles activités!

Ce sont toujours les mêmes précieuses et précieux bénévoles qui sont fidèlement au poste.

Je sais, je sais…, tout le monde est occupé!

Voyages, gardiennage, activités sportives, cours de peinture, de tai chi, de tricot…, c’est nécessaire pour garder la forme.
Que faire alors?

Eh bien! je vais continuer de rêver avec la complicité des autres membres du conseil sectoriel et, peut-être aussi, de quelques-unes et quelques-uns d’entre vous.

Je suis un peu utopiste, direz-vous, mais parfois les rêves deviennent réalité… Qui aurait pensé que Denis Coderre perdrait son élection!

Et qui sait! Mon rêve est peut-être en voie de se réaliser grâce à vous.

Ginette Ducharme

Numéro 27-3 : Se sentir « grand »
(mai 2018)

GRAND…. GRAND…. GRAND

Dès la naissance, le but premier de l’être humain est de grandir. Au départ, cet objectif se voulant physique contribuera à un moment de sa vie à son développement personnel.

Se tenir debout et faire ses premiers pas seront la bougie d’allumage qui lui permettra de se sentir grand et de goûter à la fierté qui en découle…

Richard Jutras

Numéro 26-1 : Le train de la vie
(septembre 2016)

Dans une de ses chansons, Gilbert Bécaud nous parle du « train de la vie » :

C’est un joli petit train qui te mène du berceau
Jusqu’à la fin de la fin
C’est un petit train qui va
Des montagnes de l’ennui
Aux collines de la joie.

Ce Train de la vie, c’est le voyage ou l’aventure de la vie. Ce voyage sera rempli d’émotions, de joies, de peines, de rêves, d’espoirs… et de défis. À bord du train, il y aura des moments intenses, des moments chargés d’émotion. Il y aura des petits riens qui changent une vie. Il y aura aussi de grandes joies comme il y aura de grandes peines ou de profondes tristesses.

C’est à partir de cette réflexion que la page couverture a été conçue, d’un côté (gauche), des moments de joie et de l’autre (droite), des défis, des accidents de parcours (rails accidentés) : perte d’amis, décès, maladie, etc.

Considérant que les yeux sont le reflet de l’âme et qu’ils expriment facilement les émotions, je m’en suis servi pour illustrer des moments de joie ou de tristesse intense.

Au cours du voyage, chaque station apportera son lot de changements : certains y descendront, les uns à la fin de leur voyage, d’autres pour un changement de voie. Dans ce cas, il y aura des décisions à prendre, mais parfois, l’inconnu amènera sa part d’insécurité (doubles rails avec fond de brouillard). Changer de voie représente un changement et faire un choix n’est pas toujours facile…, véritable casse-tête surtout s’il y a plusieurs options offertes (plusieurs voies).

Ainsi va le train, ainsi va la vie. Quant à savoir où se trouve la dernière station, c’est le plus grand mystère. Chacun a sa propre destinée et son propre arrêt…

Richard Jutras

Numéro 26-2 : Le présent, un cadeau
(janvier 2017)

Il fut un temps où je me levais le matin et mes petites affaires me cachaient la beauté de la vie. Les obligations, les responsabilités et le temps qui semblait s’évaporer ont fait naître un mot nouveau, le stress. Pour faire face à cette réalité quotidienne, il fallait m’improviser et même m’imposer des moments d’arrêt. Dans ce contexte, ces moments devenaient précieux, car ils me permettaient de faire le vide et refaire le plein d’énergie. Ces arrêts ou ces petits cadeaux étaient appréciés et même savourés, mais « trop peu… trop vite ». Et la vie reprenait son tempo.

Puis un beau matin, la vie prend un tout autre tournant. C’est la retraite Le présent a une tout autre signification. Je réalise que chaque jour m’appartient. Euphorie, frénésie, difficile de décrire ce que je ressens. Je ne vis plus les choses de la même façon, du moins avec la même perception. Avant, je trouvais un coucher de soleil beau, mais maintenant, je le trouve magnifique et je m’en imprègne. Tout un changement !…
Depuis, le temps court toujours, mais les heures sont plus ou moins signifiantes ou importantes (montre sans chiffres). Je suis maître de mon temps. Je vis l’instant présent en me recentrant sur ce que je ressens. Je vis mes passions, mes envies avec leur lot de sensations, d’émotions et d’impressions… belles et vraies.

Si le présent est un cadeau, c’est que j’ai les moyens et la santé pour en profiter. Mais le terme prend une tout autre signification quand on se rend compte de la fragilité de la vie. Des personnes qui sont passées au travers d’une épreuve telle un cancer disent souvent qu’elles apprennent à vivre chaque jour comme si c’était le dernier (deux personnes en filigrane). Il paraît qu’il faut frôler la mort pour mieux aimer la vie. Les points de repère et les valeurs changent. L’expression « chaque jour est un cadeau » prend tout son sens. Tout devient précieux : les gens qui nous entourent, la nature et même les petits moments, de banals qu’ils étaient, ils deviennent lumineux.

L’instant présent que je vis n’est peut-être pas grand-chose à l’échelle de l’humanité, mais chaque instant possède la magie d’être unique. La vie m’en fait cadeau !

Richard Jutras

Numéro 26-3 : Que reste-t-il de nos amours?
(mai 2017)

Quand j’analyse une expression telle que Et pourquoi pas, je la définis comme étant une réponse à la formulation d’une hypothèse à première vue judicieuse. Plus souvent qu’autrement, elle se veut non pas provocatrice, mais plutôt incitative face à la volonté d’accomplir quelque chose.

Richard Jutras

Numéro 25-1 : Liberté
(septembre 2015)

La RETRAITE c’est la « GRANDE » liberté qu’apporte l’âge. On ne contrôle toujours pas le temps, mais on devient le maître de son temps. Le sablier est toujours présent, mais le sable y est d’une blancheur parfaite inspirant la sérénité. Qu’y a-t-il de plus serein qu’une promenade au bord de l’eau au coucher du soleil ?

Richard Jutras

Numéro 25-2 : Et pourquoi pas!
(janvier 2016)

Quand j’analyse une expression telle que Et pourquoi pas », je la définis comme étant une réponse à la formulation d’une hypothèse à première vue judicieuse. Plus souvent qu’autrement, elle se veut non pas provocatrice, mais plutôt incitative face à la volonté d’accomplir quelque chose.

Maintenant à la retraite et la famille étant bien installée, les obligations et les responsabilités sont moins préoccupantes. En cette période de grande liberté, il serait bon d’ouvrir la filière où sont entassés les . .j’aimerais… et pourquoi pas se permettre de petites folies, se gâter (voyages, moments de détente…) ?

Richard Jutras

Numéro 25-3 : Technologie
(mai 2016)

Le progrès de la technologie est indéniable. Elle nous a rendu et nous rend encore de nombreux services. Elle semble sans limite si bien que nous sommes de plus en plus à sa merci. Déjà dépendants, deviendrons-nous ses esclaves ? À voir l’utilisation que les jeunes en font aujourd’hui, la question se pose… La ligne est mince entre « contrôler » et « être contrôlé ».

Richard Jutras

Numéro 24-1 : Quel changement!
(septembre 2014)

Parmi les changements les plus heureux à mon point de vue, ce sont les nouvelles technologies. Elles nous entourent dans notre vie de tous les jours. Qui se souvient qu’il fallait se précipiter à la banque le vendredi après le travail pour avoir de l’argent pour la fin de semaine ? Ces mêmes technologies ont permis des avancées majeures en santé. Les gens vivent plus vieux et en meilleure santé. L’augmentation de l’espérance de vie en témoigne bien. Il n’y a pas que des changements heureux. La mondialisation et le néo-libéralisme handicapent notre économie comme celle de plusieurs pays européens. Notre gouvernement canadien a pris un virage marqué pour le pétrole et contre l’environnement. Quelle planète laisserons-nous à nos enfants et petits-enfants?…

Jean Claude Tellier

Numéro 24-2 : Ma muse
(janvier 2015)

Je me suis posé la question : « Est‑ce qu’une muse doit être nécessairement une personne? » Ne pourrait-elle pas être un état d’âme, une sensation très tôt ressentie dans la vie?

Pour moi, ce fut la LIBERTÉ. Le lieu physique où j’ai passé mon enfance en fut le déterminant. Une liberté que je ne pouvais définir à ce moment, mais qui m’a guidé tout au long de ma vie. Celle-ci s’est humainement manifestée lorsque j’ai rencontré, dans la vingtaine, ma compagne, mon amour de vie, MICHÈLE. Elle sera mon souffle de vie.

Elle personnifia cette liberté de penser et d’agir qui m’avait assiégé si jeune. Peu importe la sphère d’activité, j’ai trouvé en elle tout l’appui pour m’affirmer, croître et me dépasser. Sa présence chaleureuse et son inspiration contagieuse me furent essentielles. Elle m’a laissé LIBRE, elle a fait de moi une meilleure personne.

Jean Rajotte

Numéro 24-3 : J’ai lu…
(mai 2015)

À chaque parution de La Dernière Craie, la page couverture a son importance. On peut soit y jeter un regard furtif, soit essayer de la lire pour en saisir toute la symbolique. Je vous inviterais donc à l’examiner plus attentivement avant de lire la suite pour constater par vous-même ce que vous y avez vu. Chaque élément qui la compose a une signification et sa raison d’être.

Richard Jutras

Numéro 23-1 : Un brin de sagesse…
(septembre 2013)

La sagesse, c’est :

  • la folie qui déjoue les folies des hommes;
  • la folie qui déjoue la sagesse trop humaine;
  • la folie en la bonté des homme;
  • l’espérance d’un lendemain plein de soleil.

Ginette Ducharme

Numéro 23-2 : Cet objet, j’y tiens!
(janvier 2014)

Objets souvenirs…

Objets qui me rappellent des événements tristes ou joyeux, des personnes aimées, des années entières de ma vie.

Ginette Ducharme

Numéro 23-3 : Le chêne ou le roseau
(mai 2014)

C’est tellement enivrant de penser qu’on peut résister à tout, aux petites ondées comme aux pires orages, aux petits ennuis comme aux pires catastrophes et rester impassible malgré la douleur.

Ginette Ducharme

Numéro 22-2 : Pour le plaisir…
(janvier 2013)

 

Faire plaisir pour se faire plaisir…

Pour moi, c’est :

  • la satisfaction d’une mission accomplie,
  • le sentiment d’avoir été utile,
  • la joie que l’on voit dans les yeux de quelqu’un.

C’est aussi le taux d’adrénaline qui grimpe sur une salve d’applaudissements quand :

  • l’artiste présente son œuvre,
  • le sportif accède à la victoire,
  • l’humaniste apporte à la société.

Ou tout simplement la cause et la conséquence du partage. Comme ces personnes l’ont fait…

Danielle Duchesneau

Numéro 22-3 : Le 7e art
(mai 2013)

Vivre pour moi,

  • c’est accepter de ne pas savoir,
  • c’est m’engager sur la route sans connaître quels méandres elle empruntera.

Et comme Zorba,

  • trouver l’énergie de danser quand tout va mal.

Ginette Ducharme